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Le 3ème Royaume
Cher nobles ou gens du peuple qui entrez ici pour partagez l'aventure, sachez que le destin est en marche et que vous êtes les acteurs de celui-ci. Etes vous prêt à faire basculer dans votre camps le fil de la destiné ? Si oui alors entrez !
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Invitation à prendre le thé royale
 :: ~ LES - VALIERES CASTLE ~ :: Extérieurs du château :: Roseraie Impériale

Auriel de C. Valesriel

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Auriel de C. Valesriel
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Jeu 4 Mar - 18:34
Auriel de Castelmore

"Feat Le Vicomte Léo de la Fère."



Invitation à prendre le thé royale...

Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Si il est vrai qu’Auriel,  se repassait toujours en boucle l'attaque du soir de bla de présentation depuis que cela était arrivée  elle n'en montrait rien, cependant elle était inquiète pour Léo, mais se devait de s'occuper des deux têtes couronnés par trop insistance à son goût pour ne pas créer un énorme problème diplomatique et se mettre en fâcheuse posture. Bon si cela ne tenait qu'à elle elle les auraient expédiées poliment avec son épée si vous la suivez bien, mais parait que cela ne se fait pas pour une fille et surtout une altesse royale. La belle affaire... supporter ses deux jeunes hommes qui cherchait à l'appâter était juste insupportable pour elle.

Aussi lorsque sa charmante   impératrice de mère lui demanda d'inviter les héritiers à prendre le thé dans la roseraie impériale, elle y posa une condition non négociable celle d'inviter également Leo  car elle voulait le remercier de l'avoir défendu lors de l'attaque qui aurait du signer son arrêt de mort et aussi car elle trouverait normal qu'il soit à l'avenir son garde personnel. Elle obtint l'autorisation de sa mère qui avait bien compris qu'elle n'en démordrait pas et que le compromis lui semblait dirons-nous correct dans la mesure où elle ne snoberait pas les deux autres invités. Suite à cela elle avait donc préparer les invitations et les avaient fait déposer par sa suivante. Celle de Leo disait ceci :


- léo tu es cordialement invité à venir prendre le thé en ma compagnie et celle des deux souverains des royaumes voisins afin de faire office je cite mon impératrice de mère de " garde de fou" pour ma personne. Eh oui pour les usages je ne peu pas etre seule avec eux deux et de toute façon sans toi je risque d'en étrioer hein donc tu n'as pas le choix. Alors rendez-vous à 15H devant mes appartements pour m'escortez monsieur mon meilleur ami !

je t'embrasse ton amie Auriel


Une bonne chose de fait et elle pouvait passer le restant de sa matinée à suivre ses cours tranquillement pour ne pas prendre trop de retard non plus dans ses leçons. Elle aurait bien aimer rejoindre Léo pour se distraire mais avec ses blessures elle préférait le laisser tranquille ses derniers temps et puis elle profiterait de son ami dans l'après-midi après tout bien que les deux autres serait de trop à son goût il fallait bien ménager leur orgueil princier dans l'affaire. Les pauvres n'avait pourtant aucune chance d'obtenir de réelle faveur de sa part, mais elle devait faire une hôtesse parfaite durant leur séjour c'était un devoir sacré selon sa mère et une corvée pour elle autant se le dire clairement. 





(C) Auriel C. De Castelmore Valesriel

Leo De La Fere

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Leo De La Fere
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Jeu 4 Mar - 23:21
Léo de la Fère

"Feat Auriel C. de Castelmore Valesriel."



Invitation à prendre le thé royale

Nam et ipsa scientia potestas est



Léo d’Hauteville de Castelcerf, Vicomte de la Fère, se remettait doucement de la vilaine blessure au bras droit récoltée en défendant la Princesse Auriel de Castelmore Valesriel d’une tentative d’enlèvement. Et puis sa propre vie accessoirement puisque les ravisseurs ne voulaient pas de témoins. L’habileté supérieure des deux jeunes gens à l’épée avait garanti leur survie, au prix de la vie de leurs assaillants. Ce qui avait causé quelques tourments intérieurs au jeune homme qui n’avait jusque-là jamais combattu pour sa vie, ni même tué pour survivre. De nombreuses discussions avec son grand-père et son oncle avaient été nécessaires pour que Léo accepte que la mort de ces bandits avaient été inévitables. Mais même débarrassé de sa culpabilité, le vicomte s’était promis d’affuter ses compétences en escrime à tel point qu’il n’aurait plus besoin de tuer pour défaire ses adversaires quel que soit leur nombre.

A présent, 7 jours après la fatidique nuit, le bras du jeune homme commençait à cicatriser. En surface la peau suturée s’était ressoudée, laissant une estafilade de chair rose et sensible en lieu et place de l’ouverture béante qu’elle était le soir de l’attaque. Le muscle quant à lui n’avait pas totalement cicatrisé, et bouger le bras était encore douloureux pour Léo. Aussi le chirurgien impérial qui se chargeait de surveiller sa guérison lui avait recommandé de laisser le bras au repos complet en écharpe jusqu’à nouvel ordre. Alors qu’il était occupé à lire un traité de botanique, une des demoiselles d’honneur de son amie Auriel était venue frapper à son huis afin de lui remettre un pli de la main de la Princesse. Toujours gentilhomme, Léo invita la demoiselle à entrer dans ses quartier et à prendre place sur un sofa le temps qu’il prenne connaissance de la missive. S’asseyant gracieusement dans son propre fauteuil, le vicomte décacheta le pli, chaussa ses lunettes et commença sa lecture. Le ton informel lui tira un demi-sourire, puis le contenu de la lettre fit se lever un sourcil de plus en plus haut sur son visage.

Un « garde fou » ? Connaissant la donzelle, je vais plutôt servir de garde du corps aux Princes de Habsbourg et de Bourbon qu’à la Princesse de Valesriel. Oui c’est bien ce que je craignais, elle parle déjà de les étriper… La peste soit de son sang chaud de demi-Gasconne ! Mais qu’ai-je donc fait à l’Impératrice pour qu’elle m’inflige pareil punition ? Quoi que, à la réflexion, ça sent le plan foireux à la Camille à plein nez. Je suis certain que c’est elle qui a insisté pour que je sois présent. Une demande de la princesse se refuse difficilement, et qui sait, peut-être pourrais-je éviter un incident diplomatique ?Avec beaucoup de chance…

Léo abaissa le bras tenant la missive de son amie, et pris quelques instants de réflexion. Puis avisant la demoiselle de compagnie qui attendait manifestement une réponse, il se tourna vers elle.

« Si vous voulez bien patienter quelques minutes je vous prie, le temps pour moi d’écrire une réponse à la missive de votre maîtresse. »

Joignant le geste à la parole, le jeune homme se leva et alla s’asseoir à son bureau. Trempant sa plume dans l’encrier, il la posa sur une feuille de papier et commença d’écrire une courte missive signifiant son assentiment à accompagner la Princesse pour le thé avec les Princes de Bourbon et Habsbourg, ne fusse que pour l’empêcher de prendre le plus petit pour taper sur le plus grand. Pliant d’un geste sûr le message, il cacheta de son sceau personnel la cire bleue scellant la missive. Puis il remit la feuille à la suivante de la Princesse avant de la raccompagner à la porte de ses quartiers.

Léo prit un rapide dîner pendant que son valet lui faisait monter un bain. Une fois propre, il enfila un habit de cour à dominante bleue rehaussé de fil d’or, suffisamment sobre pour ne pas éclipser les princes, mais assez élégant pour ne pas faire la risée d’éventuels observateurs. Son bras droit pendant toujours en écharpe à son côté, le jeune homme passa sa rapière à droite afin de pouvoir dégainer de la gauche au besoin. Pour compléter sa rébellion, le jeune homme décida de se passer de chapeau, peu friand des plumes qu’il jugeait ridicules. Et pour ne rien arranger, il se passa également de perruque, véritable nid à vermine si vous lui demandiez son avis, et plus ridicule encore qu’un chapeau à ses yeux. Il se contenta simplement de faire nouer ses cheveux en catogan à l’aide d’un ruban assorti à son habit.

Une fois prêt, Léo se rendit aux appartements de la Princesse et se fit annoncer auprès de son amie, ainsi qu’ordonné par sa missive, afin de l’escorter à sa rencontre princière. Conscient des attentes de l’étiquette de cour, il exécuta une fois entré une parfaite courbette en baisant délicatement les doigts de la demoiselle.

« Princesse Auriel, me voici prêt à vous escorter selon le souhait de Madame votre mère. Si vous voulez bien vous donner le peine…»

Le jeune homme tendit son bras blessé à la princesse, sachant qu’elle serait délicate dans son toucher. Léo savait parfaitement que ses manières amuseraient Auriel autant qu’elle l’irriteraient, mais les apparences se devaient d’être maintenues.

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BY Auriel C de Castelmore Valesriel

Auriel de C. Valesriel

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Auriel de C. Valesriel
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Sam 6 Mar - 11:41
Auriel de Castelmore

"Feat Le Vicomte Léo de la Fère."



Invitation à prendre le thé royale...

Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

une fois ses cours finit elle se glissa dans un bain qu'on lui avait préparer pour se délasser un peu avant d'en sortir propre et de partir à la recherche de la robe d'après-midi qu'elle porterait pour le thé. Elle ne devait ni être trop habillée ni pas assez vu les invités royaux de celui-ci.

Elle soupira et parcoura des dizaines de robe avant de trouver enfin la bonne robe. Elle opta donc pour une robe assez simple qui lui permettait une liberté de mouvement mais restant habillée pour tout de même être présentable. Laissant ses suivantes la coiffer et lui faire un maquillage léger et naturel, Auriel entendit l'annonce de son ami elle se précipita à l'entrée et le vit le saluant poliment d'avec les convenances même si la réplique et le geste exagéré de son ami lui fit lever les yeux au ciel


- Bonjour à toi aussi Léo. On peut y aller je suis prête, je compte sur toi pour m'empêcher d'en étriper hein avant la fin du thé au besoin...

Posant sa main en douceur sur le bras en écharpe de son ami, Auriel et Léo prirent donc le chemin de la roseraie tranquillement saluant au passage les nobles qu'ils croisaient sur leur chemin. Arrivant  dans les jardins ils retrouvèrent les princes qui apparemment ne furent pas ravis de la voir au bras de Léo. les saluant d'un léger signe de tête elle les invita à les suivre prenant le chemin de la roseraie avec Léo tranquillement pour montrer le chemin. Se penchant vers son ami elle murmura pour que seul lui l'entende. 

- Je crois bien que leurs altesses sont pas ravis de me voir à ton bras.


Pénétrant dans la roseraie où la table pour le thé était installée, Auriel fut dirigée vers sa chaise et Léo l'aida d'office à s'installer. Elle le remercia d'un léger sourire puis attendit que tout trois prennes place pour demander le service aux serviteurs qui patientaient près de la table où tout avait été préparé en prévision de ce thé mondain comme qui dirait. Auriel observait avec un brin d'agacement les deux princes se regarder en chien de faïence, elle soupira discrètement, elle devait rester calme ce n'était pas le moment de faire un esclandre d'autant que cela risquait de causer un incident diplomatique.

Le thé fut donc servit accompagner d'un excellent gâteau et la seule fille du petit groupe débuta sa tasse de thé la sirotant tranquillement en réfléchissant à comment débuter la discussion lorsqu'elle vit cependant les princes la limie la déshabiller du regard et sembler avoir en tête des idées qui n'était franchement pas de son goût. L'idée de planter sa fourchette dans la main des importuns qui s'approchait dangereusement d'elle lui semblait être une bonne idée d'un coup




(C) Auriel C. De Castelmore Valesriel

Leo De La Fere

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Leo De La Fere
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Sam 6 Mar - 23:08
Léo de la Fère

"Feat Auriel C. de Castelmore Valesriel."



Invitation à prendre le thé royale

Nam et ipsa scientia potestas est



Acceptant le bras de son amie, Léo ne releva son commentaire concernant la possibilité qu’elle étripe l’un des princes avant la fin de l’après-midi qu’en levant discrètement les yeux au ciel. Il donna cependant son assentiment d’un court signe de tête. Les deux amis prirent le chemin de la roseraie à un pas calculé. Après tout si les princes Louis de Bourbon et Léopold de Habsbourg étaient les égaux d’Auriel en terme de rang, ils étaient ses prétendants et donc pouvaient patienter un peu. Une demoiselle devait savoir se faire désirer. Conscient d’être l’objet d’observation de toutes les personnes rencontrées, Léo plaqua sur son visage ce qu’il appelait son masque de cour, les traits graves et impassibles ne laissant paraître aucune émotion. Saluant chaque noble avec la déférence que leurs rangs respectifs appelaient, le Vicomte traversa les couloirs du palais impérial jusqu’aux jardins, point de rendez-vous avec les héritiers de France et d’Autriche.

Les princes ne masquèrent pas leur déplaisir de voir leur promise au bras d’un autre, mais eurent la décence de ne pas l’exprimer verbalement, au grand soulagement de Léo qui ne voulait pas dès le départ avoir à apaiser l’inévitable colère d’Auriel si tel avait été le cas. Faisant mine d’ignorer l’hostilité à peine voilée des princes, le jeune homme s’inclina bien bas, comme il convenait à son rang. Il ne s’offusqua pas d’être totalement ignoré alors que la princesse recevait de chacun une inclination du buste en guise de salut. A l’invitation de la jeune femme, Léo mena tout ce petit monde à la roseraie que la princesse avait choisi comme cadre à cette rencontre semi-formelle.


Auriel de C. Valesriel a écrit:
- Je crois bien que leurs altesses sont pas ravies de me voir à ton bras.


Levant les yeux au ciel à la provocation d’Auriel, délibérée ou non, Léo esquissa cependant un petit sourire. Son amie avait l’art et la manière d’aiguillonner les personnes qu’elle n’appréciait guère. Un jeu dangereux s’il en était avec les princes de deux puissantes nations. Sans esquisser le moindre mouvement en direction de la princesse, le jeune homme répondit dans un murmure, heureux que les princes le suivent et ne voient que l’arrière de sa tête.

« Ordre de Madame votre mère Princesse. Et puis ne viens pas me dire que tu ne prends pas plaisir à les voir s’agacer de la sorte. Je jurerai que tu as fait exprès de te pencher vers moi pour les aiguillonner davantage. »

Au terme d’un bref trajet, les quatre jeunes gens arrivèrent dans la roseraie où Léo, en gentilhomme prévenant qu’il était, aida Auriel à s’installer dans son siège avant de contourner la table pour se placer face à la princesse, laissant aux princes l’opportunité de prendre place directement aux côtés d’Auriel. Une fois chacune des têtes couronnées installée dans son siège, Léo s’assit à son tour sur un geste d’Auriel, puis le thé fut servi. Le jeune homme se débrouilla de sa main gauche autant pour déguster l’excellent entremet confectionné pout l’occasion que pour siroter le délicat breuvage choisi par la Princesse pour l’accompagner. Ambidextre qu’il était, il s’acquitta de cette tâche avec élégance et dignité, dans le pesant silence qui régnait.

Eh bien quel silence ! Qui aurait cru que ces deux puissants princes en étaient capables. Je m’attendais à une joute verbale à peine les portes du jardin franchies. Pourvu que tout le monde garde son calme, il ne faudrait pas déclencher d’incident diplomatique. Au moins aurais-je un peu d’amusement à voir ces deux paons enfarinés faire la roue devant une princesse fort peu intéressée.

Intérieurement le jeune homme pouvait se permettre toutes les irrévérences du moment qu’elles ne transparaissaient pas sur son visage. Enfariné était le terme qui convenait tant les princes étaient poudrés du visage et de la perruque. Les yeux aiguisés de Léo repérèrent cependant et le malaise montant d’Auriel qui cherchait manifestement une entame à la conversation, et les regards presque lubriques de Louis et Léopold à son égard. Deux mains s’avancèrent vers la Princesse, et plus particulièrement des zones de son corps qu’il était fort indécent de toucher sans permission.

Crénom de Zeus, n’ont-ils donc aucun contrôle de leurs pulsions en plus d’une absence de cervelle ?! Etre prince ne leur donne pas tous les droits, et certainement pas celui de cuissage sur une princesse de sang d'un pays étranger ! Oh oh… Je connais ce regard qui brille dans les yeux d’Auriel, si je ne fais rien elle va les émasculer avec une fourchette à dessert émoussée. Il faut que je fasse quelque chose et vite sinon nous courons tout droit à la catastrophe.

« Je prie vos Majestés de bien vouloir pardonner mon audace, mais puis-je m’enquérir si vos Altesses sont satisfaites de leur séjour à la cour de Les Valières ? »

S’adresser ainsi directement à deux princes était une entorse au protocole, Léo en était conscient, mais si cela permettait de rediriger l’attention des princes vers lui, c’était préférable, le temps qu’Auriel retrouve un semblant de calme. Tout pour éviter l’incident qui ne manquerait pas de se produire si l’un d’entre le Bourbon e le Habsbourg avait le malheur de poser la main sur Auriel sans son consentement. Connaissant les prouesses martiales de Camille et son tempérament, le résultat serait déplaisant voire humiliant pour le prince impliqué.


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BY Auriel C de Castelmore Valesriel

Auriel de C. Valesriel

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Auriel de C. Valesriel
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Dim 7 Mar - 14:30
Auriel de Castelmore

"Feat Le Vicomte Léo de la Fère."



Invitation à prendre le thé royale...

Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Une fois n'était pas coutume  et la jeune fille tentait de calmer ses pulsions dirons nous violentes aux avances mal placés des deux têtes couronnés présente à savoir Louis et Léopold. Pulsion qui pourrait faire se planter sa fourchette à dessert dans leur mains des plus baladeuse, mais  elle ne tenait pas vraiment à un incident diplomatique et  remercia intérieurement la parade de son ami de toujours pour lui laisser le temps de se calmer.  

Elle se doutait bien que prendre le thé avec deux gandins poudré qui le regarde de haut  n'était pas forcément du goût de Léo mais il restait bien l'unique personne à pouvoir éviter un massacre de manière détournée et dans les règles de l'art dirons-nous. Par ailleurs peu avant cette intervention son ami avait supputé que sa réplique  était calculée pour  énerver un peu plus ses prétendants et elle devait bien admettre que cela lui avait  brièvement passé par la tête mais alors très brièvement car si elle avait voulu les énerver elle l'aurait fait bien plus et elle avait  donc simplement sourit l'air de rien à son ami. Une fois bien plus calme grâce à son intervention,  elle décida de reprendre les choses en main vu que les deux princes ne semblaient guère vouloir répondre à son ami.


- monsieur le vicomte de la Fere  soulève une excellente question  vos altesses. J'espère que votre séjour  vous est agréable en mon royaume, il y a bien longtemps que nous n'avions pas eue de tel hôtes de marque pour un séjour.

Auriel rebondissait la dessus pour  sauver un peu le thé et ne pas finir par avoir un blanc bien trop long dans la conversation tout en se disant qu'en fait elle n'en avait strictement rien à faire puisqu'elle avait plutôt hâte de les voir déguerpir  pour ne plus avoir à supporter leurs horribles avance à son sens, mais l'étiquette était de fait  trop imprimée en elle pour manquer à son devoir de convenance  pour la laisser faire entendre qu'elle souhaite les voir ailleurs qu'en son royaume. Le seul qui devait comprendre sa pensée restait Leo mais lui non plus n'allait pas faire de bourde  là dessus. Ayant repris le fil de la conversation après cet écart de pensée notre jeune princesse écouta donc les princes répondre à leur question sur leur séjour et encore une fois elle aurait préféré ne pas entendre les sous entendu sur de possible fiançailles et d'alliance de royaume. Elle préféra détourner habilement ce sujet en redirigeant promptement sur le sujet afin de le maitriser.

- Il est certes de bonne augure de bien s'entendre entre voisin ce séjour en était d'ailleurs l'objet me semble-t-il. Ma mère l'impératrice souhaite effectivement arriver à des accords d'alliance afin  de finir d'installer notre royaume comme une puissance pouvant être utile à ses alliés et non pas un pays qu'il faudrait prendre sous son aile ou rattacher à un autre. Son but est de faire prospérer notre royaume en  prenant comme exemple la grandeur des deux plus grosses puissances à savoir vos beaux royaumes.  


Bon Auriel avait de manière détournée précisée qu'elle refusait de faire inclinée son pays par une quelconque annexion de celui-ci sous un plus puissant que se soit par un mariage ou autre, mais n'ignorant pas que des propos déplacer en servirait pas leurs intérêt elle avait mis en valeur l'idée de vouloir faire de leur pays  un pays aussi important que la france ou l'Autrice. Ainsi en encensant les royaumes des deux partis elle atténuait la morgue de ses propos précédent pour éviter de manquer de respect tout en affirmant que leur pays voulais se développer et s'allier à d'autre puissance pour prospérer.

- Il me semble d'ailleurs essentiel à nous les futurs dirigeant de ses trois puissances de faire en sorte que cette alliance aboutisse et permette  bien entendu d'éviter des  guerres inutiles avec des petits pays qui adore voir les plus grands pays se faire la guerre pour en profiter. Notre intérêt est de protéger nos peuples du mieux qu'on le peut et cette alliance en serait un parfait moyen.  


(C) Auriel C. De Castelmore Valesriel

Leo De La Fere

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Leo De La Fere
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Lun 8 Mar - 0:02
Léo de la Fère

"Feat Auriel C. de Castelmore Valesriel."



Invitation à prendre le thé royale

Nam et ipsa scientia potestas est



Les princes de Bourbon et Habsbourg jetèrent chacun un regard noir en direction du jeune Vicomte, mais arrêtèrent subrepticement leur geste en direction de la princesse. Les deux arrogants personnages ne se doutaient pas le moins du monde que cette intervention, aussi inopportune fut-elle, leur avait épargné la douleur et l’humiliation d’avoir une fourchette plantés dans la main.

Dans un enchaînement si parfait qu’on aurait pu le penser répété au préalable, Auriel attira de nouveau l’attention des princes en insistant sur la question précédemment posée par Léo. Ce dernier lut dans le regard de la princesse que la réponse à la question lui importait moins que de voir ses deux soupirants s’en retourner dans leurs patries respectives. Et il la comprenait au vu du comportement possessif et arrogant de Louis de Bourbon et Léopold de Habsbourg. Chacun des deux princes répondit à la question de la princesse, ne manquant pas d’y glisser d’inconfortables insinuations concernant de possibles fiançailles pour sceller une alliance.

« Il n’y a qu’une chose qui me déplaise en réalité. L’étiquette à la cour de Valesriel est-elle si laxiste qu’un insignifiant petit vicomte ose s’octroyer la permission de s’adresser à ses supérieurs sans avoir été préalablement sollicité ? »

Louis de Bourbon avait lancé cette phrase méprisante en regardant le Vicomte de la Fère droit dans les yeux, s’attendant à voir ce dernier baisser les yeux avec déférence, voire s’effacer de la table. Le jeune homme se contenta de soutenir le regard du prince en haussant un sourcil, l’air fort peu impressionné. Du coin de l’œil il aperçut Léopold de Habsbourg arborer un arrogant petit sourire satisfait. La patience de Léo avait atteint ses limites. C’était une chose que deux princes tentent de l’écraser de leur importance, c’en était une autre qu’ils se conduisent en parfait goujats à l’encontre de son amie. De manière répétée depuis le bal de présentation. Une lueur s’alluma dans les yeux du Vicomte, dont ceux qui le connaissaient bien savaient qu’elle signifiait l’arrivée d’une de ces cinglantes réparties dont il avait le secret. De celles qui coupent la chique à celui qui avait décidé d’entrer dans une passe d’arme verbale avec Léo, et avait dépassé les larges bornes de la patience de ce dernier.

« Que vos Altesses me pardonne mon ignorance, mais les bonnes manières des cours de France et d’Autriche manquent-elles à ce point de raffinement que leurs Princes pensent normal de se conduire tels de vulgaires soudards en présence de filles à soldat à l’égard d’une princesse de sang, qui plus est leur hôtesse ? »

Le jeune homme avait prononcé cette phrase de son ton le plus mielleux. Il était passé maître dans l’art de frôler l’insolence sans avoir l’air d’y toucher. Une compétence indispensable à la survie dans le monde de la haute noblesse, véritable banc de requin où la moindre faiblesse vous conduisait à vous faire dévorer par vos semblables. Ayant l’un des rangs les plus bas au sein de la noblesse, Léo se devait de ne prêter le flanc à aucune contre-attaque, faute de quoi il se verrait rapidement disgracié.

La princesse s’empressa de rediriger le sujet de conversation loin de ce terrain glissant. Et en profita pour rappeler aux Princes de Bourbon et Habsbourg que le royaume de Valesriel souhaitait de poser en égal plutôt qu’en vassal de l’un ou l’autre de leurs propres royaumes. Moyen subtil de rabattre le caquet des deux paons qui partageaient sa table cet après-midi. Etrange comme les rôles pouvaient s’inverser d’un coup entre Auriel et Léo. C’était maintenant elle qui usait de diplomatie pour brosser les Princes dans le sens du poil et éviter un incident diplomatique, et Léo qui profitait de ce temps pour reprendre le contrôle sur ses émotions. Il fallait croire qu’il avait lui aussi hérité d’un peu du tempérament gascon de son grand-père, Athos.
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BY Auriel C de Castelmore Valesriel
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Auriel de C. Valesriel

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Auriel de C. Valesriel
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Lun 8 Mar - 19:48
Auriel de Castelmore

"Feat Le Vicomte Léo de la Fère."



Invitation à prendre le thé royale...

Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Une fois n'est pas coutume, après que Auriel est faillis péter un câble une phrase du prince de france ne plus mais alors pas du tout non seulement à Auriel mais aussi et surtout à Léo qui sembla progressivement gagné par l'état. colère de la jeune fille de tout à l'heure. Alors changeant de r$ôle, Auriel détourna habilement la conversation même si elle fut bien d'accord avec la réponse de Léo et que de manière détournée elle avait ouvertement sous entendu qu'ils pouvait déguerpirez très vite. 

Quoiqu'il en soi  laissant à Léo le temps de se reprendre et ainsi éviter la mort prématuré de deux grand princes de royaume voisin, Auriel surveillait   habilement que la discussion ne dérive pas plus ou alors c'est elle qui risquerait de faire  des morts à la fourchette à dessert.


- Un petit vicomte devrait se tenir à sa place et ne pas manquer de respects à des princes de sang en osant proférer de tel chose . Fit le prince d'autrice

Auriel respira un bon coup pour ne pas se servire de sa fourchette sur l'importun et fit alors  queconlque chose qu'elel pourrait fortement regretter par la suite , mais là trop c'était trop. Il n'était pas dis qu'elle les laisserait sans prendre à son ami et la traiter en objet sur un meme après-midi

- Donc selon vous il est irrévérencieux dans ses propos mais vous même ne l'êtes vous pas en me voyant comme un objet a conquérir et avec vos mains qui se rapproche de mes jambes sans discrétion alors que je suis héritière de cette empire et de votre rang ?  Je ne savais pas qu'un gentilhomme avait des droits de cuissage sur une princesse héritière sans qu'elle soit son épouse Après tout le vicomte ne vous a rien fait et est ici entrant que chaperon sur ordre de ma mère, il serait malvenue qu'elle apprenne ce sujet-ci non

et toc, elle les vient éloigner directement leur main et palirent violement ce qui fut un grand moment pour elle de les voir perdre de leur superbe après leur petite esclandre non mais il ne fallait pas pousser non plus. Comme si de rien était elle repris une gorgée de thé finissant son gâteau dans un silence bien agréable. Franchement ils n'avaient pas besoin de l'ouvrir si c'était pour être irrespectueux envers Léo qui ne faisais que me chaperonner sur ordre de ma mère. Non vraiment  ils étaient vraiment trop imbus d'eux-même pour qu'elle acceopte ne serait-ce qu'un instant d'envisage d'en épouser un...


(C) Auriel C. De Castelmore Valesriel

Leo De La Fere

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Leo De La Fere
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Mar 9 Mar - 22:38
Léo de la Fère

"Feat Auriel C. de Castelmore Valesriel."



Invitation à prendre le thé royale

Nam et ipsa scientia potestas est


Pendant que la Princesse recadrait sèchement ses prétendants, Léo prit élégamment sa tasse de thé pour en siroter une gorgée. Que le bord de la tasse vienne en conséquence masquer le sourire qu’il était bien en peine de retenir n’avait absolument rien à voir avec son geste. Ordinairement peu enclin à la mesquinerie, le Vicomte devait reconnaître éprouver une certaine satisfaction à voir ces deux arrogants héritiers royaux se faire rabrouer de la sorte. Et il éprouvait un plaisir indéniable d’avoir pu se permettre de les moucher lui-même. Mais le jeune homme était conscient qu’il ne pourrait se permettre un second écart maintenant que les Princes de Bourbon et Habsbourg surveillaient leurs gestes. Il lui faudrait maintenant encaisser, sans rien laisser filtrer de ses émotions, les futures attaques verbales qui ne manqueraient pas de venir. La fierté des deux Princes les empêcherait d’accepter de ne pas avoir le dernier mot. Léo devrait s’en remettre à son amie pour remettre à leur place les indélicats.

Reposant sa tasse, le jeune homme se recomposa un masque de parfaite impassibilité, aucun trait de son visage n’exprimant la moindre émotion, pas même ses yeux qui prirent un éclat dur, véhiculant le message qu’il serait attentif au moindre détail, au moindre écart de conduite, et qu’il n’hésiterait pas un instant à en rapporter la teneur à l’Impératrice. Se rencognant confortablement dans son fauteuil, Léo termina tranquillement sa part de gâteau, délicieux au demeurant, le temps que les esprits se calment après cet échange un peu vif. Le jeune homme reprit une gorgée de thé pour faire passer la dernière bouchée de gâteau, résistant à l’envie de toaster Auriel au passage. Décidément les Princes devaient l’affecter bien plus qu’il ne le pensait, il ne lui était guère coutumier de chercher ainsi à provoquer les gens, surtout de si haut rang. Très au fait des idées des lumières, et progressiste dans sa vision de la femme, le Vicomte ne comprenait pas que ces dernières puissent être considérées comme des objets. Il lui était donc intolérable de voir ces deux hommes se comporter ainsi envers une demoiselle plus jeune qu’eux de quelques années. Et dire que la galanterie à la française était vantée dans toutes les cours d’Europe, quel bel exemple on voyait là ! Son jugement était d’autant plus affecté qu’il s’agissait là de son amie d’enfance. Car Léo n’avait pas mis longtemps à assimiler Camille et Auriel comme une seule et même personne, et donc avait aisément reporté son affection de l’un à l’autre des masques portés par la Princesse.

Dans un silence pas si inconfortable que cela pour lui, Léo attendait donc que la conversation reprenne naturellement, son rang lui interdisant de parler sans y avoir été invité par l’une des trois personnes assise avec lui autour de la table. Nul doute que la seule qui s’adresserait directement à lui serait Auriel. Louis de Bourbon et Léopold de Habsbourg ne s’abaisseront pas à adresser la parole à un Vicomte. Déjà Léo n’avait pu se permettre de répondre à la pique de Louis uniquement parce que ce dernier l’avait regardé droit dans les yeux, et donc s’était adressé à lui, mais le jeune homme ne doutait pas qu’aucun des Princes ne commettraient à nouveau cette erreur. La suite promettait d’être amusante à défaut d’être confortable.
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Auriel de C. Valesriel

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Auriel de Castelmore

"Feat Le Vicomte Léo de la Fère."



Invitation à prendre le thé royale...

Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Après cette petite remise en place et le temps de profiter de les avoirs moucher, tout en finissant tranquillement son thé et le gâteau sui restait dans son assiette Auriel se décida à relancer la conversation. Conversation qui elle l'espérait ne dériverait pas de nouveau, jetant un œil à son ami elle lui sourit discrètement. Elle allait reprendre la parole quand le prince Prusse  revint sur un sujet épineux en essayant de dévaloriser Léo.

- Cela ne se peut... je ne vois toujours pas pourquoi
des princes de sangs  tel que nous, devraient supporter ainsi un petit vicomte de rien du tout à ce thé entre gens de haute naissance.
dit le prince de Prusse

Il était déjà difficilement acceptable qu'il lui soit accordé votre première danse au bal, mais il l'était encore moins que vous vous soyez trouvé en sa compagnie lors de cette échauffourée. Nul doute qu'il se sert de sa blessure pour attirer sur lui une attention largement imméritée à mon avis." Enchaina le bourbon

Auriel se concentra pour ne pas exploser, mais elle n'était vraiment pas  mais alors vraiment pas disposer à laisser passer cela. Déjà d'une d'où ses princes prétentieux lui diraient qui elle devait côtoyer  et surtout elle ne leur permettrait jamais de remettre en doute la bravoure de Léo qui l'avais protégée se soir-là.

- Il suffit messieurs ! Je ne vous permets pas de poursuivre de tel propos à l'égard du vicomte qui n'est autre que le petit fils d'un ami proche de la famille royale de Valesriel et en plus un mousquetaire reconnu de surcroit. Par ailleurs dois-je vous rappeler que je ne suis pas votre propriété et donc de fait n'est point de compte à vous rendre sur mes faits et gestes. Léo est un ami de la famille  vous n'avez pas à en savoir plus et je ne vous permet pas de douter de sa bravoure ila été là pour me défendre lors de cette échauffourée pendant que vous tout princes de sang que vous êtes vous pavaniez en sureté comme des paons dans une soirée sans vous souciez outre mesure que celle dont vous avez la prétention de vouloir la main était en danger.

Marquant une pose tout en observant les regards abasourdit des princes qui étaient autour d'elle et ne trouvait rien à répliquer à ses piques. Elle soupira  masquant celui ci par sa tasse en sirotant sa tasse, mais elle n'allait certainement pas sourire et laisser passer de tel propos motiver sans aucun doute par une jalousie mal venue en plus d'un problème de classe.

- pardonnez-moi si ses propos vous choques vos altesses mais je n'ai =guère l'habitude  d'écouter sagement des paroles véhémente à l'égard d'un innocent qui m'a aider et qui à une grande place dans mon pays car un proche de la famille royale. l'attaquer reviens à s'en prendre à la couronne de mon royaume comme le dit si bien ma mère et je suis de son avis. Il est peut-être de coutume d'agir ainsi dans vos pays , mais ici vous êtes chez moi et je ne tolèrerais pas un tel manquement en ma présence suis-je assez claire d'autant plus à l'encontre de celui qui est en passe de devenir sur ordre de ma mère mon garde personnel

Ponctuant ses propos d'un regard qui montrait qu'elle n'adlettrais plus ce genre de propos et se remis tranquillement dans son fauteuil pour  demander de nouveau un thé à un serviteur comme si de rien était.


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Leo De La Fere

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Léo de la Fère

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Invitation à prendre le thé royale

Nam et ipsa scientia potestas est


Léo encaissa avec une parfaite indifférence la nouvelle attaque contre sa personne, ne laissant pas filtrer la moindre émotion sur son visage. Il se contenta de reprendre une gorgée de thé, comme si rien ne venait de se passer, ignorant superbement la provocation à peine voilée des prétendants à la main d’Auriel. Ses yeux ne perdaient cependant rien de ce qui se passait à la table.

Ah, nous y voilà donc à la raison cachée derrière toute cette hostilité ! Leurs Altesses sont jalouses de ma petite personne. Si ce n’étais pas inconvenant de le faire, j’en rirai tiens !  Ils ont beau répéter à l’envie à quel point je suis insignifiant comparé à eux, le simple fait qu’ils insistent sur ce point montre bien qu’ils se sentent menacés par ma seule présence. Quel honneur pour un petit Vicomte de province. Notez le sarcasme, je me passerai bien de leurs puériles tentatives de me rabaisser. On dirait vraiment deux paons se faisant concours pour voir qui a la plus belle roue…

Ainsi pensait le jeune homme pendant que son amie montait au créneau pour le défendre. Très belle envolée d’ailleurs, qui laissa bouche bée les Princes de Habsbourg et Bourbon. Léo espérait simplement que la véhémence de la Princesse ne ferait pas trop de vagues à la cour par la suite. Bien que de nombreux gardes aient été disséminés autour de la roseraie pour en interdire l’accès, la voix de la demoiselle portait au-delà du périmètre privatisé. Et puis les gardes eux-mêmes et les gens chargés du service pour ce thé diplomatique pouvaient eux aussi tout entendre, et ne manqueraient pas d’en parler autour d’eux. Les petites gens du palais avaient la langue bien pendue et les plus intelligents des nobles savaient qu’ils constituaient la meilleure source de commérage de la cour.

Ouille ! Se faire traiter de paons de manière directe. A leur place ça m’en ficherai un coup à l’égo. Enfin je ne suis pas à leur place, et j’ai la faiblesse de penser que mon égo est de taille tout à fait normale, merci bien. Mais côté diplomatie, Auriel aurait intérêt à réviser un peu ses leçons. Il est admirable, et très aimable de sa part, qu’elle me défende de la sorte, mais je ne pense pas valoir une brouille diplomatique avec ces deux puissantes nations. Bien que si l’écho du comportement fort cavalier des Princes à l’égard de leur hôtesse revenait aux oreilles de leurs souverains respectifs, il y a fort à parier que l’impact des paroles d’Auriel serait bien moindre…

Les excuses de la Princesse pour la forme de son message allaient certainement apaiser un minima ses prétendants. Auriel se montra cependant ferme concernant le comportement qu’elle attendait d’eux par la suite. Ce n’est qu’à l’évocation d’un possible poste de garde personnel que les yeux de Léo s’écarquillèrent  légèrement de surprise.

J’ai dû mal entendre, j’aurais juré ouïr Auriel dire que l’Impératrice songeait à m’octroyer un poste de garde personnel de la Princesse. Tout sauf ça par pitié ! Quand on connaît sa propension à fausser compagnie à sa suite pour aller chevaucher par monts et par vaux, ou bien s’entraîner à l’escrime, hors de question que je sois soumis à ce genre de chose. Je suis bien trop jeune pour me faire des cheveux blancs.

Léo inclina la tête à destination de son amie, marque de déférence en réponse à l’honneur qui venait de lui être fait. Ainsi qu’il convenait à un jeune homme de son rang. Dieu seuls savait pourtant si le Vicomte détestait tout ce protocole et ces simagrées. Lire ou se promener dans la nature, voilà à quoi il aurait préféré passer son après-midi plutôt que de jouer les chaperons pour une Princesse au sang chaud et deux Princes imbéciles incapable de ne pas gaffer toutes les deux phrases.
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Ven 12 Mar - 17:46
Auriel de Castelmore

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Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Auriel avait bien conscience qu'avec les personnes alentours ses propos auraient tôt fait de faire le tour de la cours pour peu  qu'une esclandre éclate et cela  parviendraient fatalement aux autres vous dont le comportement de leurs héritiers dans cette histoire cela permettrait au moins d'éviter un incident diplomatique néanmoins elle n'aimait pas ce genre de comportement. Le sang gascon  coulant dans ses veines était sans doute responsable de son sang chaud et sa propension à l'ouvrir si vite, mais que voulez-vous on ne se refaisait pas.

percevant le regard de son ami et sa surprise à  ses derniers propos. Certes  elle savait que sa mère avait émis cette hypothèse avec le grand-père de son ami, mais Auriel se doutait que son ami la connaissait bien trop pour  se sentir ravi d'un tel poste. On pouvait le comprendre, une princesse qui passait son temps à semer sa garder et à ferrailler ou galoper n'était pas un travail très simple en même temps ils passeraient plus de temps tout les deux l'idée état donc une bonne option. Néanmoins Auriel ne voulait pas l'obliger et avait sortit cela pour agacer un peu plus ses imbéciles de prétendants présent à table pour son malheur et celui de son ami présentement face à elle.


- Cela étant dit et pour clore je dirais ce sujet, même si je n'ai aucunement le besoin de me justifier auprès de vous, sachez juste que ma rencontre avec monsieur le vicomte le soir de l'incident était un simple concours de circonstance j'étais juste partie prendre l'air tout simplement. Après si je puis me permettre une suggestion je serais vous j'éviterais de redire au choix de l'impératrice qui à elle-même décider de mon cavalier pour la première danse le soir de bal et pour ne froisser aucun des deux partis que vous représentiez il lui à sembler plus judicieux de choisir en Léo un ami de la famille un cavalier acceptable pour éviter de favoriser l'un plus que l'autre lors de l'ouverture du bal.

Elle avait du faire un effort monstre pour se justifier afin d'apaiser les possible tension et donc ne pas continuer avec le risque de froisser plus que l'égo de ses jeunes héritiers voisins. Non pas que cela 'aurait ennuyer outre mesure, mais elle pensait avant tout à préserver son peuple et son royaume. Auriel était certes jeune mais elle était bien plus intelligente qu'on pourrait le penser elle savait que des tensions avec ses deux grandes puissances ne servirait pas son royaume et bien que les remettre à leur place lui avait fait un bien immense elle pensait aussi à sauvegarder la paix et donc pas trop meurtrir leur égo pour éviter le moindre risque bien que c'est eux qui ont commencer à avoir  un manquement de comportement elle n'irait pas plus loin sur ce terrain sauf si il le cherchait là c'était une toute autre histoire. Et elle espérait que ce thé finirait sans que sa fourchette ne se soit planté quelque part sur l'un des héritiers. Observant les deux princes héritiers se remettre sans doute de ses propos peu flatteur envers eux, la jeune princesse était parfaitement calme d'apparence et d'esprit.

- J'espère qu'ils ne vont pas continuer à attaquer Léo ou je ne répond plus de rien. Non mais franchement je ne suis pas leur propriété... ni une poupée ou une acquisition pour leur royaume qui doit leur rendre des comptes et sourire bêtement alors qu'ils attaquent mon meilleur ami...


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Leo De La Fere

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Léo de la Fère

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Le calme commençait à revenir autour de la petite table installée dans la roseraie. Les paroles de la princesse y étaient pour beaucoup, et Léo pouvait observer une forme de contrition au fond du regard des princes de Habsbourg et Bourbon, à défaut de la voir sur leurs visages. Bien évidemment leur fierté de mâles les empêcherait de trop s’écraser devant une femme, mais leurs manières s’amélioreraient. Aucun d’entre eux ne voulait provoquer un incident diplomatique, et risquer de perdre la partie au profit de l’autre.

Pas que la partie sera jamais gagnée par aucun de ces deux paons. Je connais assez Auriel pour savoir que jamais elle n’acceptera aucune de leur proposition après un comportement pareil de leur part. Les opinions révélées par ces gestes sur la place des femmes dans leurs esprits sont clairement contraire aux aspirations de la demoiselle. Elle n’acceptera rien moins qu’un partenaire qui la considèrera comme une égale dans le mariage. Une perle tellement rare que ses chances de la trouver dans la haute-noblesse sont quasi-inexistantes.

Le jeune homme inclina élégamment la tête en réponse aux compliments de la Princesse. Par un effort de volonté considérable, il parvint à ne pas rougir. Aussi mérités que puissent être les éloges dont on le couvrait, le Vicomte ressentait une certaine gêne, peu habitué qu’il était à se trouver ainsi mis en lumière. Pour se donner une contenance, et masquer son embarras le jeune homme repris une gorgée de thé tout en ignorant soigneusement les murmures des serviteurs qu’il percevait à la périphérie du bosquet. Cette histoire allait faire le tour de la cour dans le futur proche, et Léo allait se retrouver à son grand dam au centre de l’attention pendant quelques temps. Après ce que la danse d’ouverture du bal lui avait apporté comme attention, il appréhendait à présent les jours à venir où il serait épié par toutes les mauvaises langues de la cour. Bien qu’il ne soit pas particulièrement timide, le Vicomte appréciait sa tranquillité et préférait rester en retrait autant que possible. Mais maintenant il pourrait difficilement s’enfermer dans ses appartements le temps qu’un autre sujet attire l’attention des commères professionnelles. Il lui faudrait être vu un minimum, tout en veillant à ne prêter le flanc à aucune critique. Pour la énième fois Léo maudit intérieurement son géniteur et ses désirs de grandeur. Que cet imbécile manipulateur et faux jeton tente une seule fois de l’approcher pour profiter de la lumière et il aurait affaire à la rapière du Vicomte.

Loin du tourment intérieur du jeune homme, Louis de Bourbon et Léopold de Habsbourg avaient repris leurs esprits et retrouvé leur assurance bravache de princes de sang. L’un et l’autre placèrent un sourire qui se voulait charmeur sur leur visage avant de prendre l’initiative de relancer la conversation.

« Les intentions de Madame votre mère étaient sans nul doute louable. Force m’est de reconnaître qu’il m’eût fort déplu que Monsieur de Bourbon se soit vu accorder votre première danse.
En parlant de la France, j’ai ouï dire que Monsieur Descartes était décédé. Je déplore la perte d’un esprit aussi brillant, bien que ses idées ne soient un peu trop révolutionnaires à mon goût. »


Cette entame de conversation piqua l'intérêt de Léo. Il avait lui même lu les travaux de René Descartes, trouvant certaines de ses théories fascinantes. Mais il était en désaccord sur certains points, notamment la thèse de Descartes selon laquelle les animaux n'étaient que des machines sans âme. Si Auriel et le Prince de Bourbon mordaient à l'hameçon, la conversation promettait d'être intéressante.

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BY Auriel C de Castelmore Valesriel

Auriel de C. Valesriel

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Je n'ai pas choisie mon destin, mais j'y consens. C'est la mon seul honneur...

Auriel était satisfaite d'avoir su gérer la situation en préservant chaque partie bien que si cela n'avait tenue qu'a elle cela n'était pas bien grave si ses propos étaient mal pris vu qu'il ne s'agissait que de la vérité. Mais bon diplomatie diplomatie donc elle avait fait ce qu'elel avait à faire et les propos du jeune prince de Habsbourg et cela elel aurait pu le jurer était destinée à  marqué des poings avec elle les pauvres si il savait qu'il n'avait aucune chance mais bon il ne fallait pas leur faire avoir un infarctus à un si jeune page n'est-il pas.

- Sachez qu'effectivement la décision de ma mère avait pour but de ne froisser aucun des deux partis mais d'accorder à chacun de vous une chance égale pour une danse en ma compagnie le temps de la soirée sans qu'il n'y ait aucune distinction de fait entre vous.

Si il était de coutume d'ouvrire le bal en bonne compagnie la plupart du temps lorsque prétendant il y avait celui qui avait l'honneur d'ouvrir le bal avec l'héritière était en bonne position,  Auriel savait que sa mère la connaissait suffisament pour savoir qu'elle se fichait royalement des deux princes en questions mais que noblesse oblige il fallait se résoudre à trouver une manière de ne pas trop comment dire froisser ses tête couronnées. Lorsqu'il tenta et cela Auriel ne risquait pas de le louper de se faire mousser en lançant un sujet intelligent la jeune fille savait que si elle n'allait pas dans le sens de la conversation els choses pourrait de nouveau dérivé et puis   prouvé qu'elle était tout à fait capable de conversé  comme il se doit  face à ses princes leur feraient aussi comprendre qu'elle n'avait rien d'une potiche.

- il est en effet fort triste qu'un esprit  si éclairé se soit éteint si vite. Monsieur Descarte était un visionnaire à ses heures et bien que je puisse parfaitement comprendre que l'on puisse trouver à redire sur certaines de ses idées je me contenterait de dire qu'il était sans doute plus avisé que bien d'autre sur certain point de plus il  à été influencé par ses pairs tel que Platon, Aristote et même Montaigne. Son œuvre majeur " le discours de la méthode: le Cogito  est sans conteste une œuvre visionnaire  ce " je pense donc je suis" il était juste très Cartésien et san0s m'avancer je puis dire que certes ses idées nouvelles sur l'homme et le monde qu'il pose dans ses pensées Métaphysique peuvent être  quelque peu dérangeante mais il en fait que suivre ses prédécesseur en se ralliant au système Copernicien et il ne sera sans doute pas le dernier.    

Auriel Fit un discret clin d'œil amusé à Léo  tout en attendant de voir si les princes suivait le pas pour continuer cette charmante discussion sur la philosophie. Auriel avait tout naturellement étudiée la philosophie et était un esprit des plus éclairée malgré qu'elle soit une princesse et une femme et cela pourrait sans doute choquée els deux princes mais qu'importe elle n'alalit pas changer pourquoi que se soit fallait pas rêver non plus.


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