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Léo, Vicomte de la Fère
 :: ~ CHAMBRE DE L'ETAT CIVIL ~ :: Présentation Officielle :: Fiche validée

Leo De La Fere

Messages : 16
Date d'inscription : 06/10/2019
Leo De La Fere
Admin
Dim 6 Oct - 23:17

Léo de La Fère

Nam et ipsa scientia potestas est


Nom & Prénom(s) :Léo d'Hauteville de Castelcerf de La Fère
Âge : 14 ans
Date de naissance : 18 décembre 1636
Origine : Comté de La Fère
Profession [si vous êtes héritier ou autre] : Vicomte de La Fère
Age d'entrée dans le monde[pour la noblesse] : 12 ans
Rang social : Vicomte
Avatar : trouvé sur internet

Anecdotes
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Caractère

Léo est un jeune homme aussi intelligent qu’érudit. Il se passionne pour les sciences naturelles, l’astronomie et les travaux des anciens alchimistes. Loin d’être simplement un rat de bibliothèque, il passe beaucoup de son temps libre en extérieur, de jour comme de nuit, pour observer la nature qui l’entoure ainsi que la course des astres. Linguiste averti, il maîtrise parfaitement le latin et le grec ancien. La seule science que Léo ne maîtrise pas est celle des mathématiques dont il connait les bases,  mais a des difficultés à appréhender les notions plus avancées. Il a une mémoire phénoménale et n’a besoin de lire qu’une fois ou deux une information pour la graver définitivement dans son esprit. S’il s’intéresse beaucoup aux auteurs anciens, il n’en est pas moins sensible aux idées des Lumières.

Plutôt réservé, il se mettra facilement en retrait lorsqu’il se trouvera mêlé à un large groupe de personnes, préférant écouter et ne prenant la parole que lorsqu’une question lui est posée, ou si le sujet abordé le passionne. Dans ce cas-là il s’anime davantage et tout son être exsude du feu passionné qui brûle au fond de son esprit. S’il parle peu, il ne parle jamais pour ne rien dire. Ne croyez pas que parce qu’il est discret on peut facilement lui marcher sur les pieds, Léo a la langue aussi acérée que la lame de son épée et n’hésite pas à remettre en place ceux qui tenteraient de le moquer d’une pique bien sentie.
En petit comité et en présence de ses proches amis ainsi que de certains membres de sa famille, il montre une autre facette de lui-même, bien plus extravertie et taquine. Il peut même se montrer assez tactile avec certaines des personnes les plus chères à son cœur.

Loin des jeunes gens au sang chaud de son âge, il ne fonce pas dans le tas sans se poser de question. C’est un jeune homme au tempérament calme et réfléchi, d’une patience presque à toute épreuve. Les rares fois où le jeune homme a cédé à la colère, ce fut toujours une colère froide se traduisant  par une destruction verbale de l’objet de son ire en quelques phrases assassines débitées d’un ton absolument glacial. Le jeune homme se montre rancunier et peut battre froid à quiconque l’aurait poussé à bout pendant de longues années, ne ratant alors jamais une occasion de le ou la rabaisser à grand renfort de piques cinglantes délivrées par sa langue acérée.

Un autre de ses défauts, Léo est un jeune homme incroyablement entêté qui ne change pas facilement d’avis. Quand il a une idée en tête il ne l’a pas ailleurs, et va jusqu’au bout de cette idée quitte à aller dans le mur. Il n’est cependant pas têtu au point d’être complètement obtus et sait réévaluer ses idées et opinions au besoin, généralement après un échec cuisant ou une preuve flagrante qu’il était dans l’erreur. Il ne fait pas preuve de fierté mal placée et sait reconnaître ses torts.

Pour finir Léo est quelqu’un de généreux et attentionné, qui fera tout son possible pour venir en aide à ceux qui en ont besoin. Il est très protecteur vis-à-vis de ses proches et n’hésitera pas à se mettre en danger physiquement et moralement pour eux.
Ce que je vois...


Léo est un jeune homme de 14 ans presque 15. De taille moyenne, il a un corps fin et élancé, sculpté par de nombreuses heures d’exercice physique partagées entre les pratiques de l’escrime, dans laquelle il excelle, et de l’équitation. C’est donc un jeune homme bien proportionné et svelte, bâtit pour la vitesse et l’agilité plutôt que pour la force brute. Il a d’ailleurs de très bons réflexes qui contribuent grandement à son excellence en tant que bretteur. La formation reçue de son grand père et des trois amis de ce dernier n’est pas négligeable non plus. Le jeu de jambe hérité de l’escrime participe à faire de Léo un danseur plus qu’acceptable.

Il a un visage aux traits fins et aristocratiques, rehaussé par les deux magnifiques orbes à la couleur saphir de ses yeux. Par contraste ses cheveux sont blonds comme les blés, portés mi-longs et libres, loin des perruques crinières à la mode à cette époque. S’il voit plutôt bien de loin, on le verra régulièrement porter de fines lunettes à tempes lors de ses travaux de lecture et d’écriture, sa vision de près étant moins aisée du fait de ce que l’on appellera plus tard une légère hypermétropie.

Côté vestimentaire le jeune homme a une préférence marquée pour les couleurs froides et claires. Il préfère les vêtements simples et confortables et la plupart du temps s’habille d’une chemise légèrement ouverte sur la poitrine et d’un pourpoint ainsi que d’un haut de chausse et de bas, le tout complété par une paire de confortables bottes de cuir. Mais il sait également porter  avec élégance des vêtements dignes de son rang lorsque les circonstances l’exigent. Il ne cède cependant pas à la mode des vêtements bouffants et préfère pour sa tenue d’apparat porter par-dessus sa chemise une veste cintrée à la taille et près du corps, ouverte sur le devant pour laisser apercevoir un élégant jabot de dentelle. Un haut de chausse et des bas de soies couvrent ses jambes et de simples mais élégants souliers à bouclent chaussent ses pieds. Un baudrier auquel pend une élégante rapière complète la tenue d’apparat. Ladite rapière n’est d’ailleurs pas qu’une arme d’ornement. Sa lame bien entretenue et affutée comme un rasoir est un peu plus large que la moyenne et de section losangique avec une gouttière sur ses deux premiers tiers pour l’alléger. Selon les préférences du jeune homme, les quillons ont été raccourcis, dépassant à peine de garde à l’italienne.
 

(C) Auriel de C. Valesriel



Derrière l'écran
Pseudo : Léo
Âge : 32
Pays : France
Fréquence de connexion : au moins 3 à 4 fois par semaine
Inventé ou scénario : Scénario
Mot de la fin ? Un pour tous, tous pour un!
rainmaker



Histoire




Jeudi 18 décembre de l’an de grâce Mille Six Cent Trente Six, par une nuit de tempête. Au château de La Fère, le Comte Armand de Sillègue d’Athos d’Hauteville fait les cent pas dans l’antichambre des appartements de sa fille et de son beau-fils. Ledit beau-fils, Philippe de Castelcerf Baron de Moncornet, patiente lui assis au coin de la cheminée, un verre de main à la main, l’air indifférent. De la chambre montent les cris de douleurs de la Comtesse Eugénie d’Hauteville de Castelcerf au rythme des contractions qui lui labourent le ventre alors qu’elle donne naissance à l’enfant qu’elle porte. Autour d’elle s’affairent sage-femme et servantes. C’est au terme de longues heures d’efforts que nait Léo d’Hauteville de Castelcerf Vicomte de La Fère. Epuisée par ses efforts, la Comtesse s’endort après avoir nourri son fils une première fois. Le lendemain de sa naissance, le jeune Léo reçoit le sacrement du baptême dans la tradition catholique comme le veut la coutume lors d’une cérémonie privée. Quelques semaines plus tard, Eugénie d’Hauteville meurt, emportée par une violente fièvre puerpérale.

Philippe, qui compte sur son mariage avec la fille du Comte de la Fère, et sur la naissance d’un héritier mâle, pour grimper les échelons de la hiérarchie nobiliaire, reporte sur son fils le blâme de la mort de sa mère et décide de partir pour la cour de Les-Valières afin de s’y montrer et d’y intriguer pour conforter et avancer son statut social. Sans même un regard en arrière, Philippe abandonne donc son fils aux soins d’Armand de La Fère, peu désireux de s’encombrer d’un nourrisson braillard à la cour. Le Comte, dégoûté par l’attitude de son beau-fils, décide d’élever l’enfant comme son digne héritier.

Deux années s’écoulent, marquées par tous les évènements importants de la vie d’un nourisson : première dent, premiers mots, premiers pas. Un beau jour alors que Léo approche de ses trois ans, son « Tonton » Charles de Batz de Castelmore d’Artagnan vient en visite au château de La Fère avec dans ses bagages un enfant, Camille de Batz d’Artagnan, de quelques mois l’aîné de Léo. Avec l’enfant, le mousquetaire transporte une missive de la main de l’Impératrice de Valesriel. Tandis que les deux enfants jouent sous la surveillance d’une nourrice, un véritable conseil de guerre se tient entre les deux amis. Car Camille n’est nulle autre que la princesse Auriel de Valesriel, fille de l’union secrète entre l’Impératrice et Charles d’Artagnan. La vie de la petite étant menacée par de nombreuses intrigues à la cour, décision a été prise de la mettre au secret loin du château de Les Valières, le temps pour l’Impératrice de sécuriser sa position et de confondre les conspirateurs. Peu de personnes ont la totale confiance de l’Impératrice et de d’Artagnan, mais le célèbre Athos, Comte de la Fère appartient à ce groupe restreint. Sans hésiter, l’ex-mousquetaire accepte de recueillir la petite fille, décidant au passage de la faire passer pour un garçon, fils de D’Artagnan afin de brouiller les pistes. Décision est prise de faire venir au château deux amis proches : le cultivé Henri d’Aramitz, dit Aramis, pour tenir lieu de précepteur aux enfants, et Isaac de Portau, dit Porthos, pour les former au maniement des armes et à l’équitation. Le fait que ces deux hommes soient de très fines lames, ex-mousquetaires du Roi de France, n’avait évidemment rien à voir avec la décision.

Sept années durant les deux enfants grandissent côte à côte sans jamais que Léo ne se doute que son meilleur ami était en réalité une fille. Après tout entre 3 et 10 ans les différences sont minimes et à cet échelon de la société il est fort inconvenant de montrer en public la moindre partie du corps dénudée, autre que les mains et le visage, les bains se prennent en solitaire, et  l’apprentissage de la nage en rivière se pratique donc en chausses et chemise. Leurs années passées ensembles sont rythmées par les cours académiques dispensés par Aramis et l’éducation martiale de Porthos. Naturellement gaucher, Léo devient ambidextre par la force des choses, l’éducation de l’époque voulant que tous soient droitiers. C’est pendant ces années formatrices que se développent ses passions des langues et des sciences naturelles. Sous l’impulsion des deux enfants, soutenus par leur percepteur attitré, la bibliothèque du château de la Fère se remplit d’ouvrages traitant de sujets divers et variés. Le Comte de La Fère se charge personnellement d’initier les jeunes gens aux règles et usages de la bonne société des cours d’Europe de leur époque, dispensant stricts cours de maintien et virevoltants cours de danse. Sur le plan personnel, Léo et Camille deviennent des amis inséparables, n’ayant quasiment aucun secret l’un pour l’autre. Très doués dans l’art de l’escrime, les deux compères finissent par forcer Porthos à intégrer ses anciens compagnons d’arme dans ses leçons. Auprès de ces trois maîtres bretteurs les enfants apprennent à une vitesse proprement ahurissante, d’autant plus lorsque D’Artagnan se joint à ses amis entre deux missions pour la couronne de France.

A l’âge de neuf ans arrive alors la douloureuse épreuve de la séparation des deux enfants presque siamois. Rappelée à la cour de Les Valières par sa mère, Auriel quitte le château de la Fère, et aucune promesse d’écrire à son ami ne suffit à tirer Léo de la dépression qui le frappe. Trois mois durant le jeune Vicomte reste enfermé dans sa chambre, ne décrochant pas un mot, mangeant du bout des lèvres, négligeant ses études et même les lettres de Camille. Si son grand père se montre dans un premier temps compréhensif, il finit cependant par perdre patience, et sa colère homérique finit par sortir l’enfant du mutisme dans lequel il s’était enfermé. Léo reprend du poil de la bête et se jette à corps perdu dans ses études, donnant toute la mesure de son intellect. Le jeune homme affine également ses talents de tireur au point de devenir un bretteur inégalé parmi les enfants de la noblesse de son âge. Vers ses onze ans, Athos commence à l’introduire dans divers bals donnés par la noblesse avoisinante, afin de le faire connaître comme son héritier légitime. Au contact des cercles de la noblesse Léo fait le dur apprentissage de la cruauté de ses pairs. Il y développe son abord froid et réservé ainsi que sa langue acérée. Le jeune homme réussit cependant à se créer un cercle d’amis sincères plutôt restreint, cependant sans jamais retrouver la proximité qu’il avait avec Camille.
Voici maintenant qu’alors que Léo a 14 ans, approchant de 15, Philippe de Castelcerf se souvient qu’il a un fils. Car un adolescent, futur Comte, héritier d’un ami de l’impératrice, est un outil d’avancement social aussi puissant qu’utile. L’intrigant décide donc d’appeler auprès de lui à la cour de Les Valières ce jeune homme qu’il ne connaît pas mais dont il compte bien se servir pour poursuivre ses propres buts. N’ayant aucune raison valable de refuser, d’autant que la demande était appuyée par l’impératrice elle-même, le Comte de la Fère est bien obligé d’envoyer son petit-fils et héritier auprès de son père, non sans lui recommander d’être prudent, la cour de Les Valières étant peuplée de bien plus gros et dangereux prédateurs que les cercles qu’il avait fréquenté jusqu’alors. En arrivant à la cour, Léo y retrouve certains de ses amis proches rencontrés quelques années plus tôt. En jeune homme intelligent et politiquement éduqué, il reconnaît les manipulations de son géniteur pour ce qu’elles étaient et refuse catégoriquement de se prêter à son jeu malsain. La dispute qui s’en est suivie fait encore l’objet de nombreuses discussions à la cour dans le dos du Baron de Moncornet. En effet, Léo, sans jamais se départir de son calme, n’a pas eu le moindre scrupule à moucher son propre géniteur, n’hésitant pas à lui reprocher publiquement sa non-implication dans son éducation au profit de son avancement social. Les traits d’esprit cinglants décochés à cette occasion par le jeune homme lui valent d’ailleurs à la cour la réputation de quelqu’un qu’il vaut mieux ne pas provoquer. La rupture avec son géniteur consommée, Léo trace désormais sa propre route à la cour, faisant fi des intrigues, jeune homme d’un autre temps où l’honneur et la droiture avaient encore un sens.


(C) Auriel de C. Valesriel

Auriel de C. Valesriel

Messages : 43
Date d'inscription : 30/07/2019
Age : 37
Auriel de C. Valesriel
Admin
https://valesriel-forever.forumsrpg.com
Mar 8 Oct - 20:10

Félicitations !
Tu es validé !



Bienvenue parmi les enfants de l'Olympes !

Ta fiche respecte le modèle donné  et  est complète. Tout y est alors je ne peux que te valider et te souhaiter un bon jeu chez nous ^^

Je t'invite cependant à recenser dès à présent ton avatar  en passant par ce lien [url=#]ici[/url], afin d'achever ton processus d'inscription par [url=#]là[/url].

A très vite au détour de l'une de nos contrée. L'histoire ne fait que commencer...

Que le jeu commence pour vous !

(C) Auriel de C. Valesriel

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